Ce jeudi 8 juin, Gala dévoile les bonnes feuilles de Tout le monde l’appelait Johnny, (aux éditions Mareuil). Chauffeur et garde du corps du chanteur de 1999 à 2015, Patrick Roussel révèle la petite phrase lourde de sens dite par Laura Smet après l’affaire judiciaire autour de l’héritage de son père
Johnny Hallyday n’a pas encore dévoilé tous ses secrets. Cinq ans après sa mort, les révélations et les confidences n’en finissent pas de lever le voile sur la personnalité du Taulier. Le 15 juin prochain, Patrick Roussel publie (éd. Mareuil) le livre Tout le monde l’appelait Johnny. Un ouvrage dans lequel l’ancien chauffeur et garde du corps du chanteur, de 1999 à 2015, raconte l’artiste. Impossible ou presque de ne pas évoquer l’affaire autour de son héritage. Gardienne du temple, Laeticia Hallyday s’est retrouvée au cœur d’une longue saga judiciaire Face à elle, David et Laura Smet, les aînés de son défunt époux.
Pendant de longs mois, le clan se déchire. De son père, Laura Smet ne veut pas l’argent ou les villas, mais les droits de la chanson qu’il a écrite pour elle : Laura (sortie en 1986). Dans les bonnes feuilles du livre partagées par Gala, dans l’édition de ce jeudi 8 juin, Patrick Roussel raconte : « Je n’ai jamais vu l’artiste interpréter Laura sur scène ». « J’ignore pourquoi, ou peut-être pas. Un interdit tacite. Johnny lui-même n’évoquait pas ce morceau, écrit-il. Laura, elle, m’en a parlé. Elle m’a confié, encore récemment : ‘Je me fous du reste. Moi, au moins, j’ai ma chanson’« . Tout est dit.
Lassé, David Hallyday laisse sa part d’héritage à Laura Smet
Ce n’est qu’en juillet 2020 qu’un « accord définitif » est enfin trouvé pour la répartition de l’héritage. Dans Le Parisien, la même année, un proche de l’actrice indique qu’en plus de sa chanson, la comédienne obtient « un canapé, une statue, des santiags… ». Son frère, David Hallyday, lui aurait même remis sa part estimée à un million d’euros. Lassé, ce dernier a renoncé à toute action en justice, mais est désormais le détenteur du droit moral sur l’album Sang pour sang, composé avec son père.
« Nous sommes ravis de cet accord. Nous n’avons rien demandé, il est donc normal que nous n’en fassions pas partie. Nous avons indiqué depuis le départ que seuls comptent la mémoire de Johnny et la protection des sœurs”, a fait savoir l’avocat de David Hallyday, dont les propos ont été relayés par BFMTV.